Observatoire sur la e-facturation en France

ET SI ON CHANGEAIT DE REGARD SUR LA E-FACTURATION OBLIGATOIRE ?

L’échéance approche et la e-facturation ne se heurte plus qu’à l’appréhension d’une minorité de DAF et de comptables dans les entreprises comme le révèle le sondage OpinionWay pour Quadient. La question n’est plus de savoir s’il faut conduire le changement vers la dématérialisation des factures, mais comment réussir ce projet de transformation digitale afin qu’il bénéficie pleinement à la performance de l’entreprise.

Il reste encore du chemin à parcourir

La facture électronique n’est plus un sujet de débat entre la direction générale et la fonction finance. La législation a tranché, elle s’imposera à tous les assujettis à la TVA à partir du 1er juillet 2024 pour les factures fournisseurs, et au plus tard au 1er janvier 2026 en ce qui concerne les factures clients selon la taille de l’entreprise. D’après notre étude auprès des cadres comptables et des directeurs financiers, une majorité a déjà franchi le pas (76 %), mais peu ont d’ores et déjà déployé en totalité la e-facturation pour les factures de vente ou d’achat. Le compte à rebours n’a donc pas fini de résonner dans l’esprit des DAF. Pas au point de les empêcher de dormir : plus de neuf sur dix avancent confiants vers cet horizon.

Il reste deux ans aux entreprises françaises pour déployer sereinement la e-facturation, avec l’appui d’un prestataire qu’elles souhaitent avant tout fiable, réactif et pédagogique. Deux ans pour faire d’une contrainte une opportunité, celle de s’engager dans la transformation digitale avec l’objectif d’améliorer ses process et de gagner en efficacité.

Observatoire sur la e-facturation en France
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